Biographie du Président

Le portrait de Bernard Kayumba, le nouveau management politique aux approches extralucides teintées de grandeur !

Administrateur Directeur Administratif et Financier chez DHI Telecom Group sarl.

Bernard Kayumba reste, dans les domaines des finances, marketing, affaires et banque, un interlocuteur averti et rodé. Ses atouts font de lui un cadre attitré dans la gestion publique. Ce Big et jeune Manager en finances aux approches extralucides teintées de grandeur, a su parfaire son image de marque au fil des années. Né le 20 avril 1981 à Lubumbashi, marié et père de deux enfants, originaire de la province de Haut-Lomami.

Apres avoir effectué ses études secondaires sanctionnées par un diplôme d’Etat en section scientifique option mathématiques et physique, Bernard Kayumba s’est à nouveau révélé par son excellence dans différents secteurs notamment dans la maîtrise en administration des affaires, droit des affaires, finances et banque. Son cursus dit long sur sa personnalité.

Aux allures d’intello aguerri, les visionnaires avertis reconnaissent que ce jeune aux talents multiples, est passé par un circuit d’enseignement de haute facture. De l’Université de Liège en Belgique à the University Of Arkansas aux Etats Unis d’Amérique, Kayumba est licencié en Business Administration, option finances, management et marketing, il est en même temps détenteur d’un diplôme de graduat en Finances publiques, section impôts directs et indirects.

Tel est le ticket gagnant pour ce jeune aux ambitions nobles teinté de sa vision de partage.

Une riche expérience professionnelle

Avec tous les atouts qu’il a acquis après ses études, il faut en toute évidence admettre que Bernard Kayumba a déjà inscrit en lettres d’or son nom dans les annales des finances de la République démocratique du Congo, et avec une intention inassouvie de continuer par la politique avec le PANECO pour un plus grand nombre. Actuellement, Directeur général de la société Berka Group sarl, il sied de noter qu’il est également Administrateur Directeur Administratif et Financier chez DHI Telecom sarl ayant en charge la gestion de toutes les ressources financières de l’entreprise, paiement des taxes et impôts, gestion du budget de l’entreprise.

L’homme exerce diverses tâches avec comme principale responsabilité : la gestion financière et comptable.

Kayumba a exercé d’importantes fonctions comme Chief Financial Controller à l’entreprise Bensizwe Communications Consultants où il assurait la gestion des finances, de la facturation, la gestion des déclarations des taxes et impôts et des salaires des agents affectés chez Vodacom, Tigo et Africell.

Dans le cadre du projet d’aménagement de l’Institut d’enseignement médical de Kinshasa, financé par le Gouvernement Japonais à travers l’Agence japonaise de la coopération (JICA), il fut interprète et traducteur pour tous les ateliers et réunions avec les différents Ministères et services de l’Etat au sein de l’entreprise Japonaise Toda Corporation.

Son fructueux parcours l’a également conduit à occuper le poste des Finances and Operations Manager à Sumitomo Corporation DRC Branch (consultant) avant d’être chargé de crédit chez Advans Banque Congo-Kinshasa avec comme tâches la gestion au quotidien des portefeuilles clients et prospects, l’étude des dossiers des demande de crédits, participation dans les comités de crédits…. Responsable de Corporate Banking à Afriland First Bank à Kinshasa, il a aussi occupé d’importantes fonctions chez Fidelity National Services, Little Rock, Arkansasa aux USA chargé de l’administration et des Finances.

Son Cv va s’enrichir au Primerica Financial services, Sherwood Arkansas aux USA comme superviseur d’assurances auto et vie, puis coordonnateur académique au North West Student Exchange à Seattle aux USA. Bernanrd Kayumba a également travaillé dans le programme des Nations Unies pour le développement (PNUD-Kinshasa) comme superviseur affecté au projet APEC-CEI (appui au processus électoral au Congo-Commission électorale indépendante).

L’homme parle couramment le français, l’anglais, le lingala, le sawahili et le kiluba sans omettre qu’il maîtrise bien les supports informatiques tels que le Microsoft office Word, Microsoft office Excel, Microsoft Acces, Microsoft power point et l’Internet.

Ses pas dans la politique

A l’instar des autres compatriotes congolais qui tiennent à apporter leur petite pierre pour l’édification d’un Congo fort, uni et prospère, Bernard Kayumba a eu à créer son propre parti politique qui a pignon sur rue au sein de l’arène politique congolais. Dénommé PANECO (Parti pour le nouvel élan du Congo) ce parti ne cesse de susciter l’engouement des jeunes congolais. A la tête de ce parti, le Président national Bernard Kayumba ne cesse de peaufiner diverses stratégies pour apporter des pistes des solutions à la crise multidimensionnelle que traverse la RD Congo.

Sous sa houlette, ce parti est voué à un bel avenir. Pour l’instant, le PANECO se prépare à affronter les prochains enjeux politiques qui se pointent à l’horizon en mettant diverses actions en marche. Sur ce, Bernard Kayumba veille au grain. Dans l’interview qu’il nous a accordée, il a retracé les grandes options de son parti politique.

L’homme s’exprime

Quitter les finances pour atterrir à la politique, quelle ambition vous a conduit au goût politique ?

Je pense qu’on nait avec la politique. C’est pourquoi, il est dit que le leadership est l’aptitude d’un dirigeant d’inciter ses collaborateurs à atteindre les objectifs que le parti s’est fixé. Et pour l’instant, nous avons eu l’initiative de créer le Parti du Nouvel Elan du Congo (PANECO).

L’objectif poursuivi est que tous ceux qui ne se sont jamais retrouvés en politique puissent venir y adhérer. Car, ce parti est effectivement un nouvel élan pour la population Congolaise, pour la jeunesse de notre pays. Nous voulons changer la manière dont les choses sont faites dans notre beau Congo.

Avec quels soubassements comptez-vous réaliser cela, vous vous appuyez sur quoi pour enclencher cet élan ?

Nous nous appuyons sur la jeunesse qui constitue aujourd’hui la majorité de la population Congolaise. Cette jeunesse représente pratiquement 70 % de notre population. C’est ainsi que nous, le PANECO, faisons adhérer beaucoup plus des jeunes pour pouvoir faire un poids politique capable de gérer ce pays.

Depuis la création du PANECO à ce jour, quelle est la proportion d’adhésion des membres ?

Nous en sommes à plus de soixante mille adhérents à travers toute la République Rd Congo. A noter que jour pour jour, dans les 26 provinces du grand Congo, les adhésions continuent massivement. Ici, dans la ville province de Kinshasa, les adhésions s’accentuent également du fait que les gens ont pu réellement constater que c’est du sérieux. Nous voulons donner un changement dans la classe politique Congolaise.

Quels sont vos repères dans la politique et les personnes qui vous ont inspirées sur lesquelles vous vous êtes imprégnées ?

Dans notre pays, la République Démocratique du Congo, nous avons comme repère le président de la République, monsieur Joseph Kabila Kabange. C’est un monsieur qui, au quotidien, est insulté, mais garde constamment son silence. Pour nous, c’est une qualité inouïe que nous avons totalement adopté pour faire face à nos détracteurs, qui ne cessent de nous importuner sur la question de savoir qui est notre soutien.

Qui est derrière le PANECO ?

A cette question, nous répondons que le PANECO est là parce qu’il y a la jeunesse Congolaise. Nous voulons que cette dernière accède à la gestion de la chose publique, qu’elle cesse d’être instrumentalisée, mais qu’elle travaille pour qu’on arrive au développement et à l’émergence de notre pays. C’est cela même la lutte menée actuellement.

Au regard du vent en poupe qu’a le PANECO, ne croyez-vous pas qu’il est important que vous, vous lanciez dans les élections prochaines à tous les niveaux ?

Pour l’instant, le parti ne s’est pas encore prononcé. Mais, nous voulons donner un nouvel élan à tous les niveaux de notre société. Le PANECO se veut être un parti dirigé par un jeune capable de changer les cours des choses de notre société. Nous avons été aux Etats Unis, en Europe pour étudier, nous voilà rentré au pays avec pour but d’apporter le bien-être au sein de la population. Cette dernière souffre tout simplement parce que la classe politique est divisée pour des intérêts égoïstes.

Dans quel positionnement politique devrions-nous vous classer ? Êtes –vous de la droite, du centre ou de la gauche ?

Nous sommes un nouveau parti politique qui vient de naitre et pour l’instant, le PANECO n’a pas encore pris de position. Nous voulons faire du PANECO un grand parti politique qui saurait atteindre ses objectifs fixés par rapport à son projet de société. Et, il n’est pas important pour l’instant que nous appartenions à une famille politique. Nous viserons par contre, au moment opportun, dans toutes les provinces de la République Démocratique du Congo, des potentiels candidats qui représenteront le PANECO aux échéances électorales prochaines (députation, provinciales et présidentielle)

Quelle lecture faites-vous en ce qui concerne l’actualité politique en RDC et plus précisément sur la loi électorale qui fait couler beaucoup de salive ?

Nous disons au PANECO que cette loi électorale importe des germes conflictuels et n’accorde pas la cohésion nationale. Raison pour laquelle le PANECO a pris position de ne pas l’appuyer, parce que nous ne voulons plus que la classe politique continue à être divisée mais plutôt qu’elle devienne stable. Si cette division continue, elle empêchera la venue des investisseurs pour la création d’emploi. Car, la jeunesse a grand besoin d’offres d’emploi. Elle a également besoin de bonnes formations. Voilà pourquoi nous disons : « non »aux marches et aux villes mortes. Nous voulons une paix qui nous accompagnera jusqu’à l’organisation des élections prochaines.

Notre pays est menacé d’une balkanisation et nous, acteurs politiques, devons resté unis pour la bonne cause. Barrer la route à tous ceux qui ont cette diabolique pensée. La RDC doit être capable d’assumer son rôle futur de locomotive économique du continent Africain et le Nouvel Elan peut la booster à cela.

Avec des accrocs actuels, croyez-vous que les élections seront organisées l’année prochaine comme prévue ?

Nous pensons que les élections auront bel et bien lieu en 2018. Mais, avec des préalables à respecter. Aussi longtemps que la classe politique continuera à distraire la population, il n’y aura pas d’élection. Vous, vous souviendriez qu’à la date du 11 novembre 2017, à l’hôtel Venus de Kinshasa, le PANECO a lancé le dialogue constitutionnel pour résoudre la crise politique en RDC.

Un dialogue diffèrent parce qu’il n’aboutira point au partage du pouvoir. Il permettra de dégager les dispositions faibles et ambiguës qui divisent actuellement la classe politique et nous ne voulons plus avoir une République fragilisée. La RDC est l’un des plus grands pays d’Afrique immensément riches mais dont la population ne bénéficie en rien de cette richesse. Il est temps que nous travaillons pour la paix sans laquelle il n’y aura pas d’élection transparente et démocratique acceptée par tous.

Que dire à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) au regard des enjeux politiques du moment ?

Nous devons lui accorder la chance d’organiser les élections. Mais, du reste nous devons être également vigilant parce qu’il y a encore certaines personnes manipulées au sein de la CENI par des intelligences obscures. Nous, acteurs politiques, sommes dans l’obligation d’appuyer l’organisation des élections.

Votre mot de conclusion ?

La RDC appartient à tout Congolais. Il n’est pas interdit à un acteur politique de réfléchir sur la bonne marche de son pays. Nous disons à notre population de rester calme et de ne point détruire quoi que ce soit mais plutôt de garantir la paix et la sécurité des biens et services de tout un chacun. Le PANECO demande à l’ensemble de la diaspora et de la population Congolaise de venir y adhérer massivement parce qu’il se veut aujourd’hui une solution à vos problèmes en désirant la paix régnante jusqu’à l’éternité.

Somme toute, ce parti est voué à un bel avenir.